RACE "Pantorien"

Description :
Les pantoriens étaient une espèce proche-humaine originaire de la lune Pantora, située dans le système éponyme.

Les pantoriens étaient une espèce sensible native de Pantora, une lune en orbite autour de la planète Orto Plutonia. Race proche-humaine, avec une tête, un torse et quatre membres. À première vue, ils ne différaient des humains que par leur peau bleue et leurs yeux jaunes. Les pantoriens avaient des cheveux dont la couleur variait entre le noir, le bleu, le violet clair et parfois le blanc. Ils partageaient de nombreux traits avec d'autres races à la peau bleue, en particulier les wrooniens et, dans une moindre mesure, les chiss.
Les pantoriens étaient également plus résistants aux basses températures que les humains, puisqu'ils n'avaient besoin que d'une garde-robe légère, même dans des conditions de froid extrême.

La société pantonrienne s'est développée sur Pantora, un monde situé dans une région où abondent les esclavagistes et les marchands d'épices. Les confrontations constantes avec ces types de personnes ont conduit les pantoriens à devenir férocement indépendants et fiers. Alors que la société pantorienne était démocratique, les traditions féodales de marquage du front et des joues avec des marques jaunes pour symboliser la lignée ont persisté jusqu'à l'ère actuelle. Ces traditions ont suscité un intérêt culturel pour la généalogie et l'histoire, et de nombreux pantoriens chérissaient les reliques du passé, comme les bijoux qui les reliaient à leurs nobles ancêtres ou les casques qui appartenaient à de grands héros tombés depuis d'un âge révolu.

Les anciens États-nations de Pantora ont été unifiés sous un gouvernement démocratique planétaire, dont la politique était considérée comme une forme d'art. Gouverné par l'Assemblée pantorienne, l'organe élu était dirigé par un président, qui équilibrait le pouvoir et tranchait certaines décisions.


HISTOIRE
Pendant la Guerre des Clones, les pantoriens ont demandé et obtenu un avant-poste de la République dans leur système pour se protéger des séparatistes. Une base militaire de la République fut établie sur le monde glacial d'Orto Plutonia, un monde sous protectorat militaire et économique de Pantora. Lorsque toute la force des troupes de clones stationnées sur Orto Plutonia a disparu, la République a envoyé les généraux Jedi Obi-Wan Kenobi et Anakin Skywalker pour enquêter. Ils ont été accueillis sur la planète par le président Chi Cho et le sénateur galactique Riyo Chuchi. Cho a immédiatement tenté d'affirmer son autorité, en donnant des ordres aux Jedi et aux troupes de clones qui les accompagnaient dans leur mission.
En fouillant la base vide de la République, le Président Cho était convaincu que les Séparatistes étaient responsables ; et trouver une base séparatiste non loin de là semblait confirmer ses soupçons. Cependant, après avoir trouvé la base séparatiste également détruite sans aucune preuve de contact entre la République et les forces de la C.S.I., Kenobi et Skywalker sont partis à bord de motospeeders pour découvrir la vérité. Ils ont trouvé une tribu de talz dans les collines et ont découvert qu'ils étaient responsables de la destruction des deux bases, s'étant sentis menacés par leurs présences. Bien que les preuves aient montré que les talz étaient sur Orto Plutonia depuis un certain temps, peut-être plus longtemps que les pantoriens n'avaient revendiqué la souveraineté sur la planète, le président Cho a insisté sur le fait que les talz étaient des intrus et leur a déclaré la guerre. Connue sous le nom de Guerre d'un jour, la bataille entre les soldats de la République et le talz s'est déroulée sous forme de bataille rangée, à l'instigation de Cho. Le président et nombre de ses gardes clones ont été tués avant que le sénateur Chuchi, avec les pouvoirs d'urgence qui lui avaient été accordés par l'Assemblée pantorienne, n'ait pu obtenir la paix avec le chef talz, Thi-Sen, lui assurant que le peuple pantorien quitterait Orto Plutonia en paix.

Vers 21 AvBY, la Fédération du commerce a bloqué Pantora. Sous la pression de ses électeurs, le baron Notluwiski Papanoida écouta ceux qui soutenaient que le monde devait quitter la République et rejoindre la Confédération des Systèmes Indépendants pour que le commerce puisse reprendre. Cependant, le baron a choisi de s'appuyer sur le sénateur Riyo Chuchi, lui demandant de plaider pour une assistance au sein du Sénat galactique. Finalement, le blocus a été levé et le système pantorien est resté sous la bannière de la République.

L'ascension de l'Empire
Lorsque la République s'est effondrée et que l'Empire Galactique a pris le contrôle de la galaxie, Pantora a été coupée du reste de la galaxie. Luttant pour faire face à sa nouvelle situation, l'Assemblée pantorienne se divisa en trois factions : les Apateurs, les Républicains et les Expansionnistes. Le premier groupe pensait que l'intégration à l'Empire était la seule voie vers la sécurité et la force économique, tandis que les républicains traditionalistes pensaient que l'Empire était en opposition totale avec les principes et les valeurs fondamentales de la culture pantorienne. Les expansionnistes ont fait valoir que la conclusion de traités avec les anciens mondes de l'esclavage et du commerce des épices qui les entouraient serait leur salut. Les Expansionnistes étaient les moins nombreux et leur position était considérée comme odieuse par la plupart des pantoriens.
Constituant une petite flotte de volontaires, l'Assemblée pantorienne s'agrandit prudemment ; en prenant soin d'éviter d'attirer l'attention de l'Empire sur leur travail. Les membres malhonnêtes de l'Assemblée commencèrent à engager des mercenaires et à conclure des accords non officiels pour libérer le flux des technologies de pointe, de l'information et des ressources étrangères.
Malgré les vastes ressources disponibles sur Orto Plutonia, le traité du sénateur Chuchi restait en vigueur, protégeant les talz de l'ingérence pantorienne. Alors que de nombreux membres de l'Assemblée souhaitaient respecter le traité, d'autres cherchaient à éduquer les talz dans l'espoir d'intégrer les deux sociétés et de partager les ressources.