RACE "Bésalisk"

Description :
Biologie et apparence :
Les têtes des bésalisks portaient des crêtes proéminentes et quatre bras pendaient à leurs côtés; les femelles de l'espèce pouvaient avoir jusqu'à huit bras, mais, comme les humains, ces autres mains avaient une main directrice et une utilisation limitée pour les autres. L'ajout des appendices supplémentaires nécessitait un métabolisme consistant, et ces êtres volumineux étaient capables de stocker de la nourriture et de l'eau pendant plusieurs jours et, si le besoin s'en faisait sentir, ils pouvaient survivre pendant de longues périodes sans l'un ou l'autre. Des moustaches sensorielles débraillées tapissaient la zone située sous le nez, juste au-dessus de la puissante gorge que possédaient la plupart des bésalisks adultes.
Espèce monogame, les bésalisks choisissaient un partenaire pour la vie et ne portaient souvent qu’un ou deux œufs. Les rituels d’accouplement étaient violents et très compétitifs et se déroulaient pendant les mois les plus chauds, à des périodes déterminées. Les bésalisks étaient issus d'œufs, portés par les femelles qui pondaient leurs petits à la belle saison. Avant que les œufs éclosent, un mâle bésalisk le stockait près de son corps sous une large plaque de couvée dans la peau de son abdomen. En raison du froid d'Ojom, les bésalisks étaient équipés pour survivre dans des conditions difficiles, les faisant transpirer abondamment lorsqu'ils se trouvaient sur des planètes au climat plus chaud.
Avenants, rapide à nouer des amitiés durables et à aimer l'aventure, les bésalisks étaient souvent sans peur et recherchaient des sensations fortes sans se soucier d'eux-mêmes. Cela a souvent causé des problèmes chez leurs employeurs; Les bésalisks étaient connus pour quitter le travail lorsqu'ils en avaient marre et ne jamais revenir. Quand les bésalisks prenaient des emplois dans les milieux criminels ils étaient enclins à bavarder et à trop s’exprimer. Cette fâcheuse habitude a amené les membres de l'espèce à attirer plus de primes que tout autre...

Histoire :
Isolés dans le Noyau profond, où il est difficile de naviguer, les bésalisks n’ont jamais cherché à être représentés au Sénat de la République galactique et se sont contentés de laisser les affaires galactiques se poursuivre sans leur implication. Ojom a évité l'occupation impériale et l'esclavage en faisant appel à diverses connexions influentes dans le Milieu, même si de nombreux bésalisks ont passé des années à rembourser cette dette, en particulier ceux qui étaient assez sots ou désespérés pour demander de l'aide aux Hutts.
Après sa défaite lors de la campagne post-Zsinj, le grand amiral Treuten Teradoc s’enfuit dans le Noyau profond où il créa son petit empire. Ojom était l'une des planètes contrôlées par le seigneur de guerre. À l'instar des autres systèmes du Noyau profond, le système Ojom a probablement été abandonné après la réunification impériale de 12 ApBY.

Société et culture :
En raison de la rigueur de l'environnement d'Ojom, les grandes villes ne se sont jamais développées sur ce monde. Au lieu de cela, de petites communautés d'environ un millier de familles revendiquèrent des territoires un peu partout sur la planète et ont chacune été dirigées par un dirigeant élu. Les communautés appliquaient une politique stricte consistant à maintenir la taille de leurs groupements égale afin d'éviter les conflits. Quand trop de familles grandissaient dans une région, le chef demandait à certaines familles de se séparer et de créer une nouvelle communauté sur un autre glacier.
Sans participer à la politique galactique et parce qu'ils ne produisaient aucune technologie propre à eux, les bésalisks ont établi de grandes stations spatiales orbitales où les étrangers pouvaient venir faire des affaires. Lors des échanges commerciaux et des transactions toutes les violences qui purent avoir eut lieu sur ces stations ont été commises par des étrangers, les bésalisks évitant toute confrontation.

Les bésalisks dans la galaxie :
Vifs d'esprit et sociables, les bésalisks s'intégraient facilement à toute société civilisée, même si peu de colonies bésalisk existaient en dehors d'Ojom, peu peuplée. Malgré le manque de colonies, les bésalisks quittèrent souvent Ojom pour trouver des occupations qui répondaient à leur soif d'aventure, bien qu'ils se révélèrent souvent peu fiables pour leurs employeurs dans le sens où ils avaient tendance à errer et à ne jamais retourner au travail.

Un membre notable de l'espèce bésalisk était Dexter Jettster, un être honnête, doté d'une connaissance remarquable en armement, qui possédait un restaurant dans le quartier de CoCo Town de Coruscant. Ancien prospecteur de Kessel, Jettster était un atout fiable et un ami pour le chevalier Jedi Obi-Wan Kenobi et respectait grandement le reste de l'ordre Jedi.
Bien que peu répandue, la Force s’est manifestée chez certains membres de l’espèce. Pong Krell obtint par exemple le rang de Maître au sein de l'Ordre Jedi au cours des derniers jours de la République. Combattant dans la guerre des clones, Maître Krell fut très déçu de l'Ordre et de la République et chercha à rejoindre la Confédération des Systèmes Indépendants en tant qu'acolyte sombre, sous l'apprentissage de Dooku, après avoir eu une vision de leur victoire à la fin du conflit. Avant de pouvoir suivre son plan de défection, Dogma, un clonetrooper de la 501e légion, l'exécuta pour trahison contre la République.