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ASTRE "Reytha"

Fiche technique :

  • Type d'astre : Planète
  • Région : Bordure extérieure
  • Système : Reytha
  • Population : n/c
  • Races présentes : Humain et Mon Calamarien
  • Structure : Tellurique - Planète de silicates
  • Diamètre : n/c Km
  • Gravité : 1
  • Atmosphère : Respirable
  • Décors : Plaines, océans, rivières, forêts, champs
  • Climats : Majoritairement tempéré
  • Distance du noyau : n/c années lumières
  • Durée d'une journée : n/c heures standards
  • Durée d'une année : n/c jours locaux
  • Affiliation : Empire
  • Niveau technologique : Galactique
  • Importation : Main d'oeuvre
  • Exportation : Nourriture

Description :
Certaines planètes ont la caractéristique assez rare d'être entièrement tournées vers la production et l'exportation de nourriture, et Reytha en fait partie. La diversité unique de ses microclimats permet la croissance multi-saisonnière de la plus grande partie des principales cultures. Lorsque la production agricole impériale fut portée à son maximum, des synthétiseurs spéciaux et des droïdes chargés de l’amélioration génétique furent introduits pour augmenter le rendement, ce qui conféra à la planète son surnom de « Mère nourricière de l'Empire» ou plus prosaïquement de « grenier à blé de l’Empire» (breadbasket).

Immuablement réglé par l’autorité d’un gouverneur local sous l’autorité impériale, le principal foyer de peuplement de Reytha est Yeere qui, historiquement, est l’endroit où l’on trouvait les principales forteresses et les principaux bastions. Le caractère exclusivement et entièrement agraire de ce monde a découragé l’installation du crime et de la contrebande, ce qui a rendu la planète « trop ennuyeuse » à infiltrer, de l’avis des services de renseignements de tout poil.

Son climat est rafraîchi par l’immense océan Montrosa, dans lequel la chaîne d’îles de Montrosa forme une ligne de pointillés. Leur climat plaisant attira des Mon Calamari, après la victoire de la Rébellion, qui prenaient part à des voyages stellaires et autres croisières de loisir, mais ces espaces insulaires sont considérés comme trop petits et isolés pour connaître un développement durable sur du long terme.