Fiche technique :
- Type d'astre : Planète
- Région : Région d'expansion
- Secteur : Nébuleuse fantôme
- Système : Umbara
- Population : n/c
- Races présentes : Umbaran
- Structure : Tellurique - Planète de silicates
- Diamètre : n/c Km
- Gravité : 1.0
- Atmosphère : Respirable
- Décors : Divers
- Climats : Frais
- Distance du noyau : n/c années lumières
- Durée d'une journée : n/c heures standards
- Durée d'une année : n/c jours locaux
- Affiliation : Empire galactique
- Niveau technologique : Galactique
- Importation : Divers (peu)
- Exportation : Divers (peu)
Description :
Umbara était une planète sombre, située dans la Nébuleuse Fantôme, un des systèmes les plus sombres existants et situé dans une des zones les plus reculées de la galaxie. A cause de sa localisation, Umbara était plongée dans un éternel crépuscule.
Population:
En raison de sa faible luminosité, Umbara vit se développer à sa surface une population humanoïde à la peau très pâle : les mmbarans. Les yeux des mmbarans supportaient mal les lumières vives et ne pouvaient discerner que les ultraviolets. Les umbarans mettaient au monde leurs enfants de la même façon que les humains et les élèvaient de manière identique mais ils leur enseignaient dès leur petite enfance l’art de la politique et comment gagner du prestige à l’intérieur de leur classe sociale, dans l’espoir qu’ils parviendraient à s’élever socialement. La société umbarane était en effet divisée en une centaine de classes à l’intérieure desquelles les mouvements étaient très fréquents. Pour s’élever dans la société, les umbarans acquéraient du prestige par les intrigues et même le meurtre. Seuls les membres des dix premières classes pouvaient quitter la planète et participer à la politique galactique.
Histoire:
Umbara intégra très tôt l’Ancienne République et bien qu’il était souvent rare de croiser des umbarans dans la galaxie, ceux-ci avaient durant des générations joué un rôle sur la scène politique galactique. Outre leur apparence fantomatique, les umbarans avaient toujours attirés la suspicion et la peur chez les autres espèces à cause de leur habileté pour influencer les autres. Les avis étaient partagés à ce sujet : certains scientifiques pensaient que les umbarans se servaient d’une sorte de contrôle mental découlant de la Force pour manipuler les esprits tandis que d’autres estimaient qu’ils avaient juste un très grand talent pour la communication.
A la fin des Nouvelles Guerres Sith, Umbara se trouvait sous le contrôle des Sith qui y avaient établi une Académie visant à former des assassins capables d’utiliser le Côté Obscur pour tuer leur cible sans bouger un seul muscle. Il existait des Académies semblables sur Nar Shaddaa et Ryloth. L’Académie Sith fut entièrement vidée de ses professeurs et de ses étudiants pour gonfler les rangs de la Confrérie des Ténèbres durant ses combats contre l’Armée de la Lumière sur Ruusan. Après l’apparente destruction des Sith durant la dernière Bataille de Ruusan, Umbara retourna sous le contrôle de la République.
Quand Palpatine était Chancelier Suprême de la République, il avait pour assistante personnelle une umbarane du nom de Sly Moore qui conserva son poste lorsqu’il instaura l’Empire.
Lors de l’Avènement de l’Empire, les umbarans se servirent de leur influence en politique pour obtenir des faveurs de la nouvelle administration et se rendirent extrêmement utiles auprès de l’Empereur en participant activement à sa Purge Jedi, les espions umbarans étant très doués pour traquer les Jedi en fuite. Ils excellaient également à débarrasser l’Empire des officiers Impériaux qui travaillaient plus dans leur intérêt que pour celui de leurs supérieurs. Lorsque la Rébellion devint une menace, les umbarans excellèrent à exposer des sympathisants à cette cause au Sénat et dans d’autres organes du gouvernement.
Après la mort de Palpatine, les umbarans se replièrent rapidement sur leur planète natale, craignant des représailles de la part de membres de l’Alliance et des Vestiges de l’Empire. Depuis la formation de la Nouvelle République, ils ont rarement, voire jamais, fait d’incursions dans la société galactique, ce que ne regrette nullement celle-ci.